Rente accidents du travail-maladies professionnelles : FO signe la fin d'une injustice
COMMUNIQUÉ de PRESSE
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Communiqué de presse de la FGF-FO
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Le projet de loi sur la fonction publique devait être présenté devant le Parlement à l’automne souhaitait toujours le ministre, Stanislas Guerini. Mais la dissolution de l’assemblée nationale a rebattu les cartes. Après sa présentation succincte aux syndicats le 9 avril, ce projet devait faire l’objet d’une « concertation », en seulement deux réunions bilatérales et deux multilatérales d’ici juillet. Tout est aujourd’hui remis en question. À ce jour, les sept organisations représentatives, dont FO-Fonction publique, ignorent toujours le contenu précis du projet. Pire, c’est par les médias qu’elles ont découvert au fil des semaines les intentions du ministre : sa volonté de renforcer le licenciement pour insuffisance professionnelle, de créer un intéressement ou encore de mettre le mérite, individuel et collectif, au cœur de la rémunération. C’est encore à la presse que Stanislas Guerini a confié récemment son idée de
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"Notre protection sociale collective contribue à la cohésion sociale de la République" dixit Frédéric Souillot, Secrétaire Général Force Ouvrière dans son interview ci-arpès :
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Les agents redoutaient l’axe du projet pour une loi Fonction publique, d’autant plus sur fond d’austérité budgétaire... Depuis le 9 avril, c’est la douche froide et les annonces du ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, Stanislas Guerini, sont sous le feu des critiques. Celles de FO-Fonction publique notamment, qui a boycotté cette réunion du 9 avril faisant office de lancement d’une concertation qui doit s’étirer jusqu’au 20 juin (avec deux réunions en multilatéral le 14 mai et le 20 juin).
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Les annonces ordonnant l’austérité se multiplient, l’exécutif poursuivant toujours l’objectif de résorber au plus vite le déficit public et cela en ne touchant aucunement à la fiscalité, notamment celle des entreprises. Si l’exécutif s’entête à écarter l’apport possible de recettes supplémentaires aux finances publiques, ce qui interroge nombre de spécialistes, il redouble d’idées quant à la réduction des dépenses publiques et à l’attaque des droits collectifs. Alors que les menaces contre les travailleurs sont clairement exprimées, que s’affiche la pression sur le paritarisme et que s’organise la remise en cause du financement de notre modèle social, FO a inscrit dans la résolution générale de son récent CCN la nécessité de discuter, dans le public comme dans le privé, des moyens d’action afin de porter un coup d’arrêt aux politiques d’austérité .
Le 22 mars, la direction générale de l’administration et de la fonction publique (DGAFP) a publié une note cadrant l’expérimentation de la semaine en quatre jours dans l’administration, à la demande du Premier ministre Gabriel Attal. FO, dénonce un passage en force de l’exécutif qui va coûter cher aux agents. Dans les services qui choisiront cette formule, la réduction du télétravail et des jours de RTT sont en effet préconisés par la DGAFP.
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Communiqué intersyndical
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À l’appel du groupe des 9 organisations de retraités, dont l’UCR FO, une journée d’action nationale a été organisée le 26 mars. Dans plusieurs villes, de nombreux rassemblements de retraités se sont tenus, pour dénoncer la situation de précarité de plus en plus forte des séniors, lesquels s’insurgent aussi contre la dégradation des services publics. À Paris, devant le ministère de l’Economie, une centaine de manifestants sont venus pour exiger une hausse des pensions, à hauteur de 10 %.
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Le projet d’une loi Fonction publique a été annoncé par le ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, Stanislas Guerini, dès l’an dernier. Il a été confirmé le 16 janvier 2024 par le président de la République, puis par le Premier ministre, Gabriel Attal, le 30 janvier, annonçant un texte présenté au second semestre à l’Assemblée, donc repoussé de six mois.
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